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  • : 4èmes de couverture et avis personnels de mes meilleurs lectures.
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Passion

Un petit blog en toute simplicité pour partager ma passion de la lecture.

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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 08:44

Comme dans mes recueils précédents, on y retrouve différentes formes de textes que j'aime écrire, à savoir des textes « ludiques » nés de divers jeux sur les mots, des textes tragiques - car j'ai toujours trouvé que les textes noirs avaient plus de force, plus de portée poétique - et des textes plus personnels inspirés de mon quotidien. Le titre "Vers soufflés"  a été choisi pour les 2 raisons évoqués par son double sens : - l'évocation du travail du verre soufflé, qui est de façonner une matière à son image, où les mots seraient mon matériau que je manipule pour leur donner une forme qui me ressemble.  - cela évoque également l'idée que ce j'ai écrit est dicté par quelque chose, comme soufflé par quelqu'un, puisque je puise naturellement dans ce que je vis, dans ce que je vois, dans ce que je suis.   

 

Les peines, les douleurs, les épreuves mais aussi les petits (ou grands) moments de joie et d'émotion sont les thèmes de ce recueil où l'auteur, par la poésie, nous montre tout simplement la vie en ce qu'elle peut être belle mais aussi douloureuse.

 

Je remercie Damien Kheres qui m'a personnellement contactée pour me parler de son travail et me proposer la lecture de ses textes. Curieuse de découvrir l'univers de l'auteur, j'ai accepté et, franchement, j'ai très bien fait.

 

Je ne le dirai jamais assez, chroniqué un recueil de poésies n'est pas forcément facile. Pas d'histoire à raconter, de personnages à présenter ou encore de suspens à établir pour donner envie de lire.

Pourtant, ici, c'est différent. En effet, même si le texte reste de la poésie et même s'il n'est toujours pas possible de présenter une intrigue, il convient malgré tout de dire que les poèmes de Damien Kheres ne sont pas seulement des vers les uns à la suite des autres mais de réelles petites histoires comme des nouvelles. 

 

L'auteur écrit des nouvelles en vers avec des personnages que l'on suit et dont on veut connaître l'histoire. L'auteur écrit aussi des poèmes dans la tradition de l'art avec les codes de la rime. D'ailleurs, on sent au fil des textes une connaissance du monde poétique et du vocabulaire poétique qui fait plaisir à lire.

A une époque où le vers libre ou la poésie en prose sont plus que courants, cela fait du bien de lire des rimes embrassées ou suivies.

 

Les textes de l'auteur sont pleins d'émotion et parfois, face à certains poèmes, les larmes me sont montées aux yeux. Et oui, sensible je suis, sensible je resterai.

Mais ce que j'ai aussi apprécié avec ces textes, c'est leur littérarité non négligeable sans omettre le talent avec lequel l'auteur joue avec la langue en reprenant des exoressions types pour en faire quelque chose de sensible, d'original mais de toujours juste.

 

En bref, un recueil de poèmes qui sort des sentiers battus pour présenter des textes forts et originaux qui nous racontent de vraies petites histoires grâce à une langue en vers qui vaut vraiment que l'on s'y attarde.

Si vous cherchez à lire de la poésie, n'hésitez pas à aller découvrir ce recueil qui reprend les codes trop souvent oubliés aujourd'hui pour des thèmes d'une tragique actualité.

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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 08:52

Ce recueil offre un nouvel angle d'attaque pour la poésie latino-américaine en abordant le quotidien des individus de notre époque avec une grande sensibilité. Cette dernière permet au lecteur d'expérimenter une identification à la fois fragile et intense avec son propre siècle et de faire face aux problématiques qui s imposent à sa qualité d homme contemporain. (résumé Amazon)

 

Un résumé ne recueil poétique ne servant pas à grand-chose (et étant difficile à établir) voici directement la chronique.

 

J'ai eu la chance d'être personnellement contactée par le poète Luiz Benitez qui m'a proposé la lecture de son recueil. J'ai accepté et ce livre m'est donc parvenu, tout droit d'Argentine. (vous dire que j'ai gardé l'enveloppe !)

 

Vous le savez, je ne lis que peu de poésie. Non pas que je n'aime pas ça, bien au contraire, mais parce que pour le blog parler de poésie m'est un peu difficile. Je ne vais quand même pas vous faire des études de textes ici et donc parler d'un recueil en général... J'ai toujours peur de ne pas trouver le ton juste.

Pourtant, en refermant le recueil, le chronique a commencé à jaillir en moi et j'ai su que je prendrais un énorme plaisir à l'écrire. Du coup, je me lance.

 

En 70 pages, le poète nous fait découvrir le monde et son pays : les gens, la vie, le décors... Le poète nous emmène avec lui dans son univers et nous vivons avec lui ce qu'il nous raconte, nous évoluons avec les gens qu'il nous décrit, nous avançons dans le recueil comme nous avancerions vers une belle lumière au fond d'un tunnel, la lumière de la découverte.

 

Il m'est impossible de vous donner un résumé en bonne et dûe forme mais au cours de ce recueil, le poète nous fait découvrir ce qu'il connait et nous en donne une vision personnelle qui, peu à peu, entre en nous pour nous faire découvrir des morceaux de vies que nous n'imaginerions pas.

 

La plume est belle, en vers libres et je regrette simplement de ne pas savoir parler espagnol car j'aurais aimé pouvoir lire ce recueil en VO. Le poète sait jouer avec les images et autres métaphores et le lecteur se laisse prendre au jeu, au jeu des mots et au jeu de la vie. Au jeu de la poésie, tout simplement.

 

Aujourd'hui, nous lisons de moins en moins de poésies. C'est bien dommage. Je suis donc ravie d'avoir lu non seulement un recueil mais en plus un recueil de qualité d'un poète actuel.

De même je suis ravie de vous conseiller cette lecture qui change de nos lectures habituelles et qui vaut vraiment que l'on s'y intéresse.

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 09:14

Pas de résumé, ni d'éditeur ni de moi, pour ce recueil assez étonnant. Pas de l'éditeur parce qu'il n'y en a pas et pas de moi parce que j'en serais bien incapable.

Alors de quoi vais-je vous parler me direz-vous ?

 

J'ai lu ce recueil dans le cadre d'un cours de littérature comparée sur la poésie de l'amour. Cela ne vous parle pas beaucoup plus ?

Dans ce recueil, le poète parle de Douve. Nous ne saurons jamais s'il s'agit d'une femme, d'un homme ou d'autre chose (une idée, un souvenir et j'en passe). Difficile de savoir si Douve est en vie ou non.

En effet, le recueil mêle la vie, la mort, la douleur, l'amour, sans chronologie apparante ou logique quelconque...

 

Vous comprenez alors pourquoi il m'est difficile de vous parler de ce livre...

Malgré tout, je peux essayer de vous parler du style de l'auteur même si tout ce que je pourrai dire ne sera jamais à la hauteur d'analyses poussées et complètes.

 

Bonnefoy parvient magnifiquement à mêler la poésie en prose et la poésie en vers. Il mêle les voix : la sienne et celle de Douve, il nous parle avec classe de ce qui nous rend humain : la vie, la mort.

Je serais bien incapable de dire de quoi parle précisemment le recueil mais je crois que ceci n'est pas utile. Je crois qu'il nous faut simplement nous laisser porter par la langue du Monsieur, sans forcément chercher à tout comprendre. Saisir ce que l'on peut, imaginer, rêver...

 

Comme il est dit dans Le cercle des poètes disparus, on vit ici cette poésie. Quel importance si on ne comprend pas tout à partir du moment où les mots eux-mêmes parviennent à nous faire rêver ?

 

Bon, la poésie n'est pas mon genre de prédilection. C'est sûr. Mais malgré tout, j'ai su me laisser transporter par cette langue incroyable que nous propose le poète et si vous avez l'occasion de découvrir ses textes, n'hésitez pas un instant !

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 09:16

 

Connaissez-vous Carnac ? La superbe ville bretonne jointe à l'océan ? La petite ville connue pour ses menhirs dont ignore la provenance et les alignements ? Ceci ?

Et bien, ce sont ces merveilles de la nature que le poète Guillevic nous offre à travers les mots.

Avec métaphores, personnifications et autres belles figures de style, l'auteur nous emporte dans sa Bretagne natale. Il nous fait sentir l'odeur de l'océan et nous montre sa ville.


Au cours de ma lecture, j'y étais. Au fil des mots, je n'étais plus ou j'étais mais aux portes de ce petit coin de paradis.

Au fil des mots, on retrouve le goût de l'océan et la vision des pierres. On sent l'ode marine et on touche ces "gros cailloux". On entend tout ce monde breton.


La lecture de ce recueil a été pour moi un petit moment onérique dans lequel je me replongerai volontiers. Je m'arrête là car il n'y a pas de mots pour découvrir mon ressenti après cette lecture.

J'espère vous avoir convaincu...

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 21:36

http://ecx.images-amazon.com/images/I/4111HTMSZDL._SL500_AA300_.jpg

 

Qui est Laure, cette femme dont le poète tomba amoureux et qui mouru subitement ? Comment survivre après la perte ? Comment retrouver le bonheur perdu et le souvenir de l'être aimé ? Ce sont toutes ces questions que pose le recueil. Le poète nous parle de Laure, de la mort, de la maladie mais aussi, et surtout, de l'amour qui lui portait et lui porte encore...

 

Le pétrarquisme, on connait. Cette façon de parler d'amour avec cette force indéterminable est tout simplement unique et magnifique. On connait Ronsard, on connait aussi un peu Louise Labé. Pourtant, Pétrarque lui-même, on connait moins.

On sait qu'il parle de Laure, l'être qu'il aimait. A part cela, on ne sait pas grand-chose en vérité.

 

Après lecture, voici mon sentiment sur cette oeuvre : bien que nous ayons à faire ici à un recueil de poésies, le poète nous entraine dans une belle histoire d'amour.

Avec la traduction nrf c'est de la prose qui nous est offerte et tout cela mis ensemble nous entraine dans quelque chose qui se fait plus proche de la narration. La narration d'un amour perdu, la narration d'une belle histoire.

Ce recueil ne se lit pas comme un recueil de poésies justement. Il se lit comme un roman. Un roman dont on veut, morceau après morceau, connaitre la suite. Un roman dont on veut savoir la fin.


Je dois le reconnaitre, je n'ai pas tellement accroché à cette poésie. Cependant, j'ai su apprécier la beauté de ce récit et j'espère bien pouvoir relire certains de ces poèmes en italien, langue d'origine, pour apprécier toute la poésie qui n'aura pas été retransmise dans cette traduction qui pourtant, déjà, nous transporte.

 

Bref, ce recueil de poésies est plus que cela et c'est ce "plus" que je vous encourage à découvrir.

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20 janvier 2013 7 20 /01 /janvier /2013 10:25

 

Léon-Paul Fargue est un poète peu connu au milieu des phares de son époque. Né en 1876 et décédé en 1947, le poète a traversé plusieurs époques littéraires et sa poésie nous le fait bien ressentir.

Dans cette édition, c'est la poésie complète du poète qui nous est offerte, dans le temps et hors du temps. Entre nostalgie et tout ce qu'on peut imaginer, Léon-Paul Fargue nous entraine à la découverte de son monde.

 

Je ne connaissais pas du tout ce poète, ou alors seulement de nom, avant d'avoir à lire ce livre pour mon cours de littérature du XXème.

Je dois reconnaitre que j'avais quelques doutes en ouvrant cette anthologie. La poésie, ce n'est pas trop ça et la poésie en prose encore moins. Mais bon, quand il faut il faut et d'ailleurs, j'ai eu beaucoup de belles surprises avec cette poésie du XXème...

 

Bref, je me suis plongée dans le recueil et je me suis retrouvée en plein coeur de la vie du poète. Il nous raconte son enfance, sa ville, son service militaire... Que sais-je ?

Pas de titres pour les poèmes. C'est au lecteur de comprendre de quoi il s'agit.

Par ailleurs, c'est l'amour du poète pour la musique et pour ce qui l'entoure qui ressort souvent au fil des pages...

Tout ceci dans un style tout à fait incroyable qui, pourtant, nous fait croire à tout ce qui est écrit.

 

Une très belle découverte pour moi. Sans dire que je conseille vivement cette lecture en entier, je pourrais vous dire de regarder un ou deux poèmes. Histoire de découvrir cette écriture assez incroyable.

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 08:30

 

Personne ne sait qui est cette fameuse personne à qui Shakespeare écrivit ses sonnets. Mais, ce qui est certain, c'est que nous avons à faire ici à un grand recueil de la poésie amoureuse. De l'amour à la mort en passant par de multiples facettes, le poète nous livre son coeur. Le poète se souvient de son amour et nous le dévoile dans une poésie majestueuse.

 

Pour mon cours de littérature comparée, il m'a fallu me plonger dans ce recueil. Vous le savez, la poésie n'est pas mon fort. Pourtant, j'ai dévoré ce recueil en un rien de temps.

C'est avec surprise que je me suis laissée entrainée dans la poésie de celui que l'on connait plus pour son théâtre. Cette poésie amoureuse est tout simplement belle et incroyablement forte.

 

Le poète nous parle d'un amour. Il nous transporte dans une langue qui m'a rappelé ce pour quoi j'aime la grande littérature.

Sonnet après sonnet, le lecteur se laisse emmener dans l'univers du poète. Un univers fort en émotions qui fait passer de l'amour à la mort (ça ne vous rappelle rien ?) parmi tant d'autres sentiments.

 

Je l'avoue, je n'ai lu qu'une traduction. Mon niveau en anglais est si médiocre qu'il était impensable que je découvre ces textes dans leur langue d'origine.

Mais la traduction de Jean Malaplate est incroyable. Je crois qu'il a su garder l'esprit du poète tout en le transposant dans notre langue de Molière.

 

Je ne peux que conseiller cette lecture. Si vous n'aimez pas la poésie, ne lisez peut-être qu'un ou deux sonnets, mais ne laissez pas passer cette chance de découvrir l'amour dans une plume qui donne des frissons.

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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 17:04

 

Carnet du soleil s’inscrit dans la continuité de « La plus que vive » (Gallimard, 1996) dans la mesure où Christian Bobin reprend aujourd’hui sa plume pour écrire à celle qui bouleversa sa vie en disparaissant prématurément à l’âge de 44 ans : « Mourir ne referme pas le livre à sa dernière page » écrivait-il alors. En effet, il revient aujourd’hui vers elle, il lui parle de tout ce temps qui les sépare et pourtant...

 

Christian Bobin parle de celle qu'il a aimé en 59 pages. Entre souvenirs de l'amour et de la mort, c'est dans un style absolument magnifique que l'auteur nous transporte l'espace d'un temps dans son monde, dans son univers, univers empli par la mémoire de celle qu'il a aimé.

 

En quelques pages, l'auteur nous entraine dans son monde. Un monde où la mort et la douleur de la perte de l'être aimé sont omniprésents. Un monde décrit avec finesse pour que le lecteur le comprenne et y vive le temps de la lecture.

C'est encore grâce à mon amie Claire que j'ai pu découvrir ce petit livre et je dois reconnaitre qu'elle a le don pour me faire connaitre des textes superbes.

Ici, nous avons à faire à de la prose mais une prose tellement poétique qu'elle garde la magie de ce genre.

 

Que dire de plus ? Ce petit livre est tellement vite lu qu'il est impossible d'en parler davantage sans tout dévoiler. Mais je vous le conseille car ce petit texte prouve qu'aujourd'hui encore, les auteurs peuvent avoir le souci de la belle langue.

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 09:58

 

L'histoire ne marche pas à reculons. On ne fonde pas un empire bourgeois sur les ruines d'une république. Pour l'avoir clamé, Victor Hugo est exilé par celui qu'il appelait Napoléon le petit, caricature de l'autre, celui des soldats de l'an II, celui de Waterloo. La République, croit-il, c'est le progrès moral, la vertu individuelle, la légitimité, le peuple justement représenté. " Dix millions, cent millions de voix scrutinant en masse ne comptent pas devant cet atome, devant cette parcelle de Dieu, l'âme du juste. " Victor Hugo sera ce juste qui se dresse devant le coup d'Etat du prince Napoléon. " Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée. " Ils résonnent encore dans ces vers grandioses et passionnés, pleins d'un rêve de justice et d'égalité.

 

L'Hisoire "avec sa grande hache" comme dirait Perec. A travers ses poèmes c'est cela que nous fait vivre ou revivre l'auteur. De l'histoire du peuple à l'histoire de l'Etat en passant par la fameuse bataille de Waterloo si chère à Hugo, c'est une époque qui nous est offerte ici, différemment. L'Histoire racontée par un homme qui l'a vécue.

 

A travers ses poèmes, Hugo nous raconte son temps mais il nous livre aussi son ressenti sur cette époque : ses espoirs, ses peines, ses colères.

On ne lit pas l'Histoire avec Hugo, on la vit.

 

Victor Hugo fait parti de ces auteurs que j'aime beaucoup. Sa poésie, au sens large du terme, me transporte. Son langage m'emporte. Ce qu'il raconte me porte. Bref, quand je lis Totor, je ne suis plus la même, je suis dans ma bulle, ailleurs.

Je n'avais jamais lu de poésie du Monsieur et mon programme pour la fac m'a permi de pallier à ce manque. Et moi qui ne suis pas vraiment passionnée d'Histoire, j'ai pu en apprendre un peu plus sur une époque.

 

Je comprends qu'on n'aime pas la poésie. Moi même je n'en suis pas fan. Mais cette poésie là n'en est pas vraiment. Il y a des vers, il y a des rimes, mais il y aussi et avant tout quelque chose de raconté.

Je ne dis pas de lire tout le reccueil mais, juste pour connaître un peu mieux ce Romantique, pourquoi ne pas lire, à l'occasion, un ou deux poèmes, histoire de lire l'Histoire par celui qui l'a vécue...

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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 13:05

 

Je suis loin d'être une grande fan de poésie et pourtant, ce reccueil-ci, je l'ai dévoré.

Il m'a fallu le lire pour mon cour de littérature française du XXème siècle et je dois reconnaître que, lorsque j'ai commencé ce livre, j'y suis plutôt allée à reculons.

Pourtant, dès les premiers poèmes, je me suis laissée prendre par le style assez incroyable du poète qui alterne la poésie en prose, la poésie en vers libres et quelques vers classiques au milieu de tout ça.

Au fil des poèmes, on ressent la douleur de l'auteur et toutes les émotions qu'il tente de nous faire passer : la peur, la solitude.

De plus, le poète utilise un style très accessible contrairement à d'autres poètes qui sont parfois difficiles à comprendre.

 

J'ai dévoré ce reccueil en quelques jours et, à la fin, je me suis surprise à en redemander.

En bref, un reccueil de poème que je conseille à tous ceux qui aiment la poésie et la beauté des textes qui font passer de nombreuses émotions.

Je conseille aussi ce reccueil à ceux qui voudraient connaitre un poète du XXème moins connu.

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